Mais je ne vous permets pas!
Au vu de la non-diversification de centres d'intérêt des derniers échoués en date sur le présent Fabulous Blog (preuve à l'appui, voir ci-dessous), je me permets de te narrer, lecteur (lectrice) apparemment très clairement en manque de sexe, une petite croustillance mésaventurielle absolument pas drôle -mais bon, si j'avais de l'humour, après tout, ça se saurait- qui m'est arrivée pas plus tard qu'il y a une poignée de minutes.
Pour mon nanniversaire, j'ai eu la chance de me faire offrir, parmi tous les cadeaux qui m'ont innondés, une machine à café à dosettes über-glamour-fashion (mais pas celle où Georges C. est livré en kit dans la boîte -dommage-), où il faut un peu jouer à cache-cache avec les points de vente des dites-dosettes. Forte de cette constatation, et remarquant avec un bonheur non dissimulé que le site internet du bouzin re-proposait la vente en ligne, je me suis collée ce soir à mon écran pour m'en commander quelques boîtes de réserve histoire de satisfaire ma caféinomanie notoire.
Bon, c'est vrai que le site aussi est très joueur et que pour la première commande, il fallait exhumer un code d'inscription annoncé comme étant noté dans l'emballage de mon joli joujou tout rouge [ça tombe bien que le ménage et moi, on soit fachés depuis des années, parce sinon, j'aurai peut-être déjà jeté le carton...].
Bref, je farfouille, je cherche, je traque, je commence à sentir le bout des oreilles qui se réchauffe, et au bout de quelques dizaines de minutes de spéléologie dominicalo-nocturne, tombe sur une pauvre carte postale d'auto-promo de la marque Douceur de Bon©, où est inscrit le fameux code, avec, développé juste au dessus, un texte qui doit très certainement être tout à fait passionnant mais pas très utile en ce qui me concerne puisque rédigé intégralement en allemand.
Je retourne donc à ma souris et mon clavier, me délectant à l'avance de ma future commande et du coup, de ma prochaine réception de plein de munitions corsées et pleines d'arome, quand soudain-t-à-coup je constate avec stupéfaction l'outrecuidance de l'interface du site qui me demande -que dis-je: m'ordonne!- de forniquer avec le fameux numéro d'inscription tant désiré:
Alors, moi j'demande: Je veux bien me l'taper, vot' putain de code... Mais où???